11 février : Résurrection

Cher lecteur! Tu m'as à peine quitté depuis mon voyage à New York que tu me rejoins ici pour une épopée d'une semaine au Portugal, plus spécifiquement à Madère, une île du Portugal au large du Maroc. Tu te dis peut-être que je vais me baigner et profiter des plages sablonneuses... Détrompes-toi! Madère en février, c'est environ 18 degrés ressentis - parfait pour des randonnées et du tourisme qui ne requiert pas une réapplication obsessive de crèmes solaire à chaque deux heures. Tu sais, le genre de tourisme où tu dois jeter tes chandails après parce que des croûtes de tâches de crème solaire se sont formées autour des cols? Ça. Je garde pour l'été, cher lecteur!

Le titre de cette entrée est la résurrection, principalement car il s'agit ici d'un voyage qui était dû depuis longtemps. En 2018, quand je suis parti seul au Royaume-Uni, j'étais initialement censé y aller avec ma tante (Pop), mais la maladie nous a joué des tours et elle n'a pas pu se joindre à moi. C'est donc 7 ans plus tard (wow, tu sais que tu es vieux quand tu commences à dire des choses comme "il y a 7 ans") que nous nous reprenons, pour une petite semaine, vie de travailleur à temps plein oblige.

Madère est une île connue pour son vin, ses randonnées et... son aéroport. Ce dernier situé près de la capitale, Funchal, est considéré comme le neuvième plus dangereux du monde. Les pilotes doivent suivre des formations particulières pour y atterrir - rien pour me stresser.

Voilà! Petite entrée, petit contexte. Espérons que les vols se passent bien, pas de retard ou de correspondances manquées, car les vols qui vont à Madère, il n'y en a pas des tonnes non plus. Vol manqué veut dire vol du lendemain...



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